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Elouan Millau veut passer un cap

Elouan Millau a 18 ans et vient de signer sa première licence à l’ACRLP. Il réside chez ses parents à Malguénac, et est étudiant en L1 en FAC d’économie et gestion à l’UBS de Vannes.

1 – De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avoir choisi l’ACRLP ?

Je suis licencié à l’ACRLP depuis cette année. J’ai choisi l’ACRLP car c’est un très bon club et l’envie de progresser encore et toujours m’ont poussé à prendre une licence à l’ACRLP pour être entraîné par Rémi Le Yaouanq.

2 – Vous êtes-vous déjà essayé à d’autres disciplines sportives ? Lesquelles ?

Je fais du triathlon depuis 5 ans au club de Pontivy. Ainsi, pour performer en triathlon, il faut être efficace en course à pied car le triathlon se gagne souvent là. C’est pourquoi je m’entraîne également avec l’ACRLP sans délaisser les autres sports.

J’ai également fait du foot pendant 7 ans au Stade Pontivyen (jusqu’à mes 13 ans)

3 – Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Pourquoi je cours ? Parce que j’aime ça, mais au-delà de ça j’aime me faire mal et me surpasser que ce soit à l’entraînement ou en compétition. Cela peut parfois me jouer des tours car l’envie de me dépasser au quotidien, n’est pas très bon et j’en fais parfois peut être un peu trop.

Courir m’apporte du bien-être. Après un bon entraînement, sentir que l’on a bien travaillé et que l’on a mal aux jambes, j’adore ça !

4 – C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?

Ma spécialité, c’est le demi-fond.

5 – Depuis que vous êtes licencié à l’ACRLP, quel est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ?

Je n’ai pas fait encore beaucoup de course avec l’ACRLP mais les quelques courses que j’ai faites ont été très bonnes (à part Taulé Morlaix). Le cross court à Pacé le 18 novembre reste ma plus belle course mais j’espère faire beaucoup mieux dans un proche avenir.

6 – Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?

Mes objectifs avec l’ACRLP, ce sont les cross cet hiver, en espérant aller jusqu’au championnat de France et y performer pour ainsi valider une progression que j’espère « grande ».

7 – Votre point fort dans la course à pied ?

Je n’ai pas vraiment de point fort.

8 – Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…

Mon point faible, c’est très clairement les sprints. J’ai beaucoup à faire à ce niveau pour progresser.

9 – Vous mangez quoi avant une course ?

Avant une course, je mange du riz et de la viande blanche,. Je prends des vitamines et c’est parti…

Ça m’arrive de manger du gâteau sport mais je prends cela plus avant une compétition de triathlon.

10 – C’est qui votre « pote » d’entraînement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?

Mon coéquipier d’entraînement s’appelle Jérémy Bohelay. Un vrai plaisir de courir avec lui malgré la souffrance qu’il me fait subir. Mais j’espère que les rôles vont bientôt s’inverser et que je le ferais souffrir à mon tour !

11 – Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autres loisirs) ?

Quand je ne cours pas, je nage et je fais du vélo, très important en triathlon !

Ludovic Josse : « à part la course à pied, je fais du fromage et je dors ! »

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Ludovic Josse

39 ans – PACSE – 2 enfants – paysan fromager – originaire et réside à la Croix-Helléan.

–  De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avez-vous choisi l’ACRLP ?

« J’ai signé ma première licence en junior 1  (18 ans je crois) grâce à Jean Yves Audo. Je participais aux cross scolaires et Jean-Yves, qui était mon facteur, m’a embrigadé à l’ACRLP !  Ensuite, j’ai découvert le club, son équipe junior de cross et Rémi Bellec.

– Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?

« Parce que ça va plus vite qu’en marchant ! Pour être sérieux, je cours pour le plaisir de faire des footings dans les bois.  C’est agréable d’avoir les capacités physiques pour découvrir de nouveaux chemins, de nouveaux endroits. Je me perds souvent mais je me retrouve toujours !

Mais j’adore aussi le côté compétition ; Jusqu’où je peux pousser la machine (le poney), Comprendre les séances d’entraînements, se fixer des objectifs.

Le revers de la compétition, c’est que je fini souvent blessé avant d’atteindre les objectifs ».

– C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?

« C’est le cross. J’adore ça. C’est la « baston ». Tous les coureurs, du demi fond jusqu’au traileur, sont au départ. Il faut une grosse préparation physique et un bon mental pour faire sa place.

Mon autre spécialité, c’est le saut à la perche mais je n’ai pas encore commencé ! »

– Depuis que vous courez à l’ACRLP, quelle est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ? 

« Mes meilleures souvenirs sont en cross. Cette année au cross de Saint-Avé, un dernier tour de folie avec Jacques (Emeraud). On se retrouve deuxième et troisième avec le luxe d’en profiter dans la dernière ligne droite. On aurait dit deux cadets qui montent sur le podium !

Dans des temps plus lointains, ma quatrième place en junior au championnat de Bretagne de cross. Une dernière ligne droite avec un public qui vous hurle dessus : inoubliable ! Jamais je n’aurai cru être capable de faire une telle place avant la course. Quinze jours plus tard, rebelote, je fais 4e aux inters et l’équipe junior de l’ACRLP est championne ».

– Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?

« Me reposer après la saison de cross ».

– Votre point fort dans la discipline ?

« Courir au train ; le semi-marathon de Malestroit !

– Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…

« J’encaisse mal les départs trop rapides. Et les arrivées au sprint. Je n’ai vraiment aucune pointe de vitesse ».

– Vous mangez quoi avant une course ?

« Je mange 4 heures avant la course : des pâtes avec des crudités ».

– C’est qui votre « pote » d’entrainement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?

« Je cours souvent tout seul et j’aime bien ça.

Pour les séances clés, je cours avec Jacques (Colona). C’est lui qui gère mes plans d’entraînement qui m’ont bien fait progresser depuis 3 ans.

On a le même niveau et on s’est sacrement aidé cet hiver sur les séances difficiles.

– Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autre(s) loisir(s)) ?

« Je fais du fromage et je dors ! »