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Ludovic Rio : « en vitesse, je suis une…tortue ! »

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Ludovic Rio – 37 ans – en couple – commercial – Vit à Remungol – Signe astrologique : verseau.

De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avez-vous choisi l’ACRLP ?
Ma première licence date de 2013. J’ai choisi l’ACRLP parce que mon ami de longue date Frederic Brien m’y a gentiment amené ! On a pratiqué le cyclisme ensemble pendant plusieurs années.

Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?
Je fais du sport depuis l’âge de 6 ans, et je cours tout d’abord pour garder la forme. C’est aussi un bon moyen de se vider la tête après le boulot.

C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?
Je suis plus sur du demi-fond. Je pratique également le cross et la piste parce que ce sont des rendez-vous incontournables du club et que ça aide énormément dans une préparation de demi-fond.
Cependant, là où j’excelle, c’est tout de même le lancer de marteau ; 13,46 m !

Depuis que vous courez à l’ACRLP, quelle est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ?
Ma plus belle course reste mon premier et seul marathon (pour le moment) ; Paris en 2015. J’y ai fait 2h55. C’est vraiment une expérience à part ! Le volume de la préparation est important et ça me convient bien. Après Paris, c’est la foule, et c’est beau. J’ai pris plaisir au marathon parce que toutes les conditions étaient réunies pour y arriver. Le plus dur reste de pouvoir encaisser la charge d’entrainement.
J’ai été très bien préparé par Fred.

Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?
J’aimerais bien descendre sous les 36’ sur 10 km, et améliorer ma performance sur marathon (en fin d’année à Francfort).

Votre point fort dans la discipline ?
La récupération ; j’arrive bien à enchaîner les séances.
Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…
La vitesse, parce je n’avance pas ! Sur des séances de piste, je suis une tortue ! Et c’est la condition pour améliorer mon chrono sur 10km, semi et automatiquement marathon.

Vous mangez quoi avant une course ?
Je mange des pâtes ou du riz avec du jambon, des lentilles et une mousse au chocolat en dessert. Pas de fruit, j’aime pas les fruits… J’aime beaucoup le chocolat !

C’est qui votre « pote » d’entrainement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?
J’aime courir avec le groupe de demi-fond, où règne une très bonne ambiance ; les coachs Jacques et Fred, les Tony, Mlle Vanoc, Cédric, Didier et tout et tout ! Mention particulière pour notre renard en chef, Micka, qui est toujours là pour animer la galerie.
Et puis sur les grosses séances, il y a beaucoup d’entraide entre nous, on se tire la bourre et c’est ça qui est bon !
Je passe aussi beaucoup de temps à courir avec ma chérie Sophie avec qui je partage cette même passion.

Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autre(s) loisir(s)) ?

Je pars à la montagne car c’est une autre de mes grandes passions. Je pratique l’alpinisme, et aussi l’escalade. D’ailleurs, à la fin de cette saison, nous partons gravir le Mont-Rose dans les Alpes à 4634 m !

Cédric Raffin : « la course, le dépassement de soi »

Cédric Raffin Cross

Cédric Raffin – 29 ans – En couple depuis 7 ans avec Amélie et pacsé depuis 2 ans – Employé administratif/gestion – Vis à Moréac – Originaire de Ploërmel – Signe zodiacal : gémeau.

 

–  De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avez-vous choisi l’ACRLP ?

Ma première licence à l’ACRLP date de février 2014. J’ai signé à L’ACRLP car c’est le club du secteur, qui a une bonne image et dont on voyait les actualités dans la rubrique sportive de la presse locale.

– Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Je cours car pour moi, le sport fait partie intégrante de ma vie, c’est essentiel. Courir, j’ai toujours aimé ça (j’ai joué 20 ans au foot avant) ; ça permet de se vider la tête et surtout ce que j’apprécie, c’est le dépassement de soi. Toujours aller chercher au plus profond de moi-même. Dans la course, mon objectif principal est de m’entraîner dur, pour progresser jour après jour et aller chercher des chronos toujours de plus en plus bas.

– C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?

Ma spécialité est le demi-fond (10 km, etc)

 – Depuis que vous courez à l’ACRLP, quelle est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ?

En seulement 2 ans de course à pied, j’ai déjà vécu de beaux moments, comme la montée magique aux interclubs en 2015, dans une grande ambiance, mais aussi mon premier 10km en 35 mn à Rennes. Mais je dirais mon tout premier semi-marathon à Paris en mars dernier avec les copains. Pour une première, il n’y avait pas mieux comme lieu que Paris, avec une belle ambiance tout le long du parcours, une foule impressionnante, et un bon chrono de 1 h 19.

 – Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?

Mes objectifs à court terme sont d’être en 34 mn sur 10 km (record en 35’24 à Laval en octobre 2015) et continuer de prendre du plaisir, car sans plaisir pas de résultat.

– Votre point fort dans la discipline ?

Ma motivation, je ne lâche rien !

– Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…

La régularité en course, toujours un moment un peu moins bien sur une course, (par exemple du 6e au 8e km sur un 10 km) et un manque de confiance en moi.

– Vous mangez quoi avant une course ?

Généralement des pates avec du blanc de poulet, et une compote entre 3 et 4h avant.

– C’est qui votre « pote » d’entrainement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?

Nous avons un bon groupe de demi-fond avec une très bonne ambiance où nous faisons les séances en commun. Après pour les footing etc. je suis principalement avec Tony et Jonathan, sans oublier quelques sorties avec mon pote Damien Audo qui court au club de Quéven et avec qui j’ai commencé la course à pied. Puis de temps en temps, je vais avec ma chérie Amélie.

 – Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autre(s) loisir(s)) ?

 Toujours dans le sport : je fais du vélo, j’aime aussi regarder les matchs de foot, le biathlon, le cyclisme… Puis j’adore cuisiner, passer du temps avec la famille et les amis…

 

Julien Gombaud à la recherche du geste le plus efficace possible…

Gombeau

Julien Gombaud

33 ans – Pacsé avec Virginie Thomas – 2 enfants – enseignant et entraîneur à l’ACRLP (section Pontivy) – réside à Mûr-de-Bretagne – Originaire de Nivillac.

De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avez-vous choisi l’ACRLP ?

Si je me rappelle bien ma première licence date de 1999. J’ai choisi l’ACRLP grâce à Cédric Morio et à Judikaël Guillevic, alors athlètes du club et que j’ai rencontré au lycée Saint-Paul de Vannes. Ayant eu accès pendant plusieurs années à un sautoir en hauteur dans mon petit village du sud de la Bretagne, j’ai longtemps sauté en autodidacte et j’ai toujours adoré ça. Cédric et Judikaël m’ont convaincu de signer à l’ACRLP.
Nivillac est très loin de Locminé et encore plus de Pontivy mais le club faisait venir toutes les semaines un entraîneur sur Vannes où nous étions internes. Cette démarche a pesé dans mon choix.

Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Ce que j’aime dans l’athlétisme, c’est avant tout que ce sport permet de ne se confronter qu’aux objectifs de performance que l’on se fixe. L’autre athlète n’est pas un adversaire mais une motivation supplémentaire pour m’aider à atteindre mes objectifs.
J’aime également la recherche du geste le plus efficace possible. Je considère que c’est une belle utopie.

C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?

Je suis avant tout sauteur en hauteur et je fais des haies hautes.

Depuis que vous courez à l’ACRLP, quelle est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ? 

Depuis 1999, je considère que ma meilleure performance est ma victoire au meeting de Vannes en 2005 où j’ai franchi pour la première fois (et d’ailleurs l’unique fois) les 2 mètres à la hauteur.

Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?

Mon objectif 2016 est de franchir 1 m 90 à la hauteur. Je me pose également la question de tenter une saison estivale de triple saut.

Votre point fort dans la discipline ? Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…
Mes qualités de pieds sont certainement mon principal atout et me permet de compenser (un peu) mon déficit de puissance.

Vous mangez quoi avant une course ?

En général, je ne mange pas ou peu avant la course où le concours. Mes épreuves me permettent cela.

C’est qui votre « pote » d’entrainement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?

Lorsque j’ai commencé l’athlé, c’était Cédric Morio qui est devenu par la suite mon préparateur physique l’année où j’ai passé le concours pour devenir enseignant.
Par la suite, je me suis beaucoup entraîné seul, à Tours où à Corbeil-Essonnes où ma vie professionnelle m’a mené.
Aujourd’hui, je n’ai malheureusement pas beaucoup de temps pour m’entraîner mais je prends beaucoup de plaisir à souffrir avec le super groupe d’athlètes que j’entraîne.

Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autre(s) loisir(s)) ?

Après les entraînements, mon travail d’enseignant, les stages hauteur que j’anime pour l’ETR, il me reste du temps pour en partager un maximum avec ma famille.
Je pratique aussi la guitare et le jonglage.