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Julien Gombaud à la recherche du geste le plus efficace possible…

Gombeau

Julien Gombaud

33 ans – Pacsé avec Virginie Thomas – 2 enfants – enseignant et entraîneur à l’ACRLP (section Pontivy) – réside à Mûr-de-Bretagne – Originaire de Nivillac.

De quand date votre première licence à l’ACRLP ? Et pourquoi avez-vous choisi l’ACRLP ?

Si je me rappelle bien ma première licence date de 1999. J’ai choisi l’ACRLP grâce à Cédric Morio et à Judikaël Guillevic, alors athlètes du club et que j’ai rencontré au lycée Saint-Paul de Vannes. Ayant eu accès pendant plusieurs années à un sautoir en hauteur dans mon petit village du sud de la Bretagne, j’ai longtemps sauté en autodidacte et j’ai toujours adoré ça. Cédric et Judikaël m’ont convaincu de signer à l’ACRLP.
Nivillac est très loin de Locminé et encore plus de Pontivy mais le club faisait venir toutes les semaines un entraîneur sur Vannes où nous étions internes. Cette démarche a pesé dans mon choix.

Pourquoi courez-vous ? Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Ce que j’aime dans l’athlétisme, c’est avant tout que ce sport permet de ne se confronter qu’aux objectifs de performance que l’on se fixe. L’autre athlète n’est pas un adversaire mais une motivation supplémentaire pour m’aider à atteindre mes objectifs.
J’aime également la recherche du geste le plus efficace possible. Je considère que c’est une belle utopie.

C’est quoi votre spécialité dans la discipline (le fond ? La vitesse ? Un lancer ? Etc.) ?

Je suis avant tout sauteur en hauteur et je fais des haies hautes.

Depuis que vous courez à l’ACRLP, quelle est, pour vous, votre meilleur résultat ou votre plus belle course ? 

Depuis 1999, je considère que ma meilleure performance est ma victoire au meeting de Vannes en 2005 où j’ai franchi pour la première fois (et d’ailleurs l’unique fois) les 2 mètres à la hauteur.

Quels sont vos objectifs sportifs à court terme ?

Mon objectif 2016 est de franchir 1 m 90 à la hauteur. Je me pose également la question de tenter une saison estivale de triple saut.

Votre point fort dans la discipline ? Et votre point faible ? Là où vous vous devez de vous améliorer…
Mes qualités de pieds sont certainement mon principal atout et me permet de compenser (un peu) mon déficit de puissance.

Vous mangez quoi avant une course ?

En général, je ne mange pas ou peu avant la course où le concours. Mes épreuves me permettent cela.

C’est qui votre « pote » d’entrainement ? Celle ou celui avec qui courir est un plaisir ?

Lorsque j’ai commencé l’athlé, c’était Cédric Morio qui est devenu par la suite mon préparateur physique l’année où j’ai passé le concours pour devenir enseignant.
Par la suite, je me suis beaucoup entraîné seul, à Tours où à Corbeil-Essonnes où ma vie professionnelle m’a mené.
Aujourd’hui, je n’ai malheureusement pas beaucoup de temps pour m’entraîner mais je prends beaucoup de plaisir à souffrir avec le super groupe d’athlètes que j’entraîne.

Quand vous ne courez pas, vous faites quoi (autre(s) loisir(s)) ?

Après les entraînements, mon travail d’enseignant, les stages hauteur que j’anime pour l’ETR, il me reste du temps pour en partager un maximum avec ma famille.
Je pratique aussi la guitare et le jonglage.